Ayant pris ses fonctions le 3 juin 2024, le nouveau directeur général de JUNIA, Alexandre Rigal, nous expose sa vision, son projet autour de JUNIA.
Nous sommes ravis d'avoir accueilli Axel, étudiant en seconde au lycée La Salle de Lille, en stage de découverte chez JUNIA. Au cours de cette semaine intense, il a pu découvrir les métiers de la communication et de la promotion chez JUNIA. L'occasion pour lui de rencontrer notre directeur général, Alexandre RIGAL, qu'il a pu interviewer et dont vous trouverez ci-dessous l'article.
Un grand bravo à lui pour ce travail réussi !
Ayant pris ses fonctions le 3 juin 2024, le nouveau directeur général de JUNIA, Alexandre Rigal, nous expose sa vision, son projet autour de JUNIA.
Pour Alexandre Rigal, JUNIA est avant tout une école des transitions avec notamment la réunion de trois écoles historiques du secteur lillois : HEI, ISEN et ISA, mais également une usine écoresponsable et digitale, avec des équipes de recherche. Il cherche donc à les rapprocher et à faire en sorte que chaque école se sente le plus possible à sa place au sein de l’établissement.
D’après le nouveau directeur général, chaque élève doit ressortir de sa formation avec des compétences transverses issues de chacun des programmes, ce qui ferait donc la force de JUNIA. Il évoque par exemple le fait qu’un étudiant qui sort du programme ISA, doit, certes, avoir une spécialité évidente en agronomie, mais avec également des compétences communes aux autres formations, comme en informatique, par le biais du programme ISEN.
JUNIA n’est pas implantée uniquement sur un campus de Lille, mais existe depuis plusieurs années à Châteauroux et à Bordeaux.
Lors de notre échange, une question a été abordée : Pourquoi avoir ouvert de nouveaux campus dans ces villes en particulier ?
Pour Alexandre Rigal, la réponse paraissait évidente : si les nouveaux campus ouvrent dans ces espaces, c’est que les entreprises locales en ont besoin, c’est avant tout pour les étudiants, mais c’est également pour “accompagner les entreprises à grandir”. C’est donc là que la recherche de nouvelles relations avec les entreprises prend tout son sens.
“Les entreprises de ces territoires doivent nous percevoir comme des boîtes à outils capables de les accompagner” nous confie Alexandre Rigal.
Pour JUNIA, le directeur général veut que les étudiants et les entreprises “changent de paradigme” et aient désormais une relation “B2B”. C’est-à-dire que les entreprises qui souhaitent accueillir des étudiants dans leur structure de quelconque manière y gagnent quelque chose. Pour lui, JUNIA devrait être capable de dire aux entreprises des territoires où ils sont situés : “ Si vous avez une problématique, venez nous voir on a une solution”. Alexandre Rigal souhaite que Junia puisse entrer dans une “relation d’exigence” avec les entreprises, pour “donner du sens au métier d’ingénieur”.
Pour conclure, selon le nouveau directeur général de Junia, les entreprises prendront une place majeure dans le cadre de leurs formations, et elles en deviendraient même “le cœur du réacteur JUNIA”.
Pour Alexandre Rigal, un étudiant qui sort des différents programmes est un élève qui a acquis une spécialité dans un domaine en particulier, tout en ayant une connaissance des autres programmes. C’est surtout un élève qui a conscience de la situation actuelle, des différentes transitions qui sont en cours, et qui les inclut donc dans toutes ses problématiques.
Article rédigé par Axel, étudiant en seconde générale au lycée LASALLE à Lille, dans le cadre de son stage réalisé au sein du service Communication Corporate.